Nous nous définissons en créant d’abord la notion d’altérité, reconnaissant l’autre comme différent de nous. Puis nous nous comparons afin de se connaître et de limiter les contours notre personnalité, créant encore plus de différenciation.
N’est-ce pas la première conséquence de l’illusion de la séparativité d’avec l’Un ?
Comment pourrions-nous, tout en continuant à être critique avec soi même et se perfectionner, arriver à inverser le mouvement différenciatif pour aller dans le sens de l’inclusion et de l’Union ?